Daniel Dayer a expliqué : « J’aime beaucoup les traductions de ces poèmes de Kabir Edmund Helminski et Camille Adams Helminski qui enseignent les poèmes de Mowlavi aux États-Unis. »
« La quatrième partie du Masnawi, a-t-il dit, est un dialogue entre le pharaon et son épouse. Moise avait promis au pharaon que s’il arrêtait de se présenter comme «Dieu » et se soumettait à Dieu, il assurerait la pérennité de son royaume, le garderait en bonne santé, le laisserait vivre tant qu’il le voudrait et le conduirait au paradis. »
« Le pharaon consulta son épouse qui était une croyante qui lui conseilla d’accepter, puis son ministre Hamann, qui le fit changer d’avis. Dans ce texte, Asiah est le symbole de la bonne âme humaine et le ministre celui des mauvais penchants », a-t-il dit.
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